Résumé SV-B : Interactions entre les organismes et leur milieu de vie

1. Introduction

Ce chapitre aborde les relations entre les organismes vivants et leur environnement, en insistant sur les adaptations anatomiques, morphologiques et physiologiques observées à différentes échelles.

2. Respiration chez les Métazoaires

La respiration permet les échanges gazeux entre l’organisme et son milieu de vie en fonction des besoins physiologiques. On distingue des convergences évolutives et des homologies dans l'organisation des structures respiratoires en milieux aquatique et aérien.

Les échanges se font au niveau de surfaces spécialisées, caractérisées par leur finesse et leur étendue, favorisant la diffusion des gaz selon la loi de Fick. La convection interne et externe permet de maintenir des différences de pression partielle favorisant l’absorption de l’oxygène.

Études et observations

Transport des gaz respiratoires

Chez les Mammifères, l’hémoglobine joue un rôle essentiel dans le transport de l’oxygène. Sa saturation dépend des conditions physiologiques (pH, CO₂, température, teneur en 2,3 BPG).

La courbe de saturation de l’hémoglobine illustre ces variations et permet d’expliquer le relargage d’oxygène dans les tissus et son captage dans les poumons.

3. Nutrition et développement post-embryonnaire des Angiospermes

Les plantes étant fixées, elles assurent leur nutrition en puisant des ressources dans le sol et l’atmosphère. Le développement végétatif et reproducteur est influencé par des signaux environnementaux et des régulations internes (corrélations trophiques et hormonales).

Les Angiospermes possèdent une grande plasticité phénotypique, leur permettant de s’adapter aux variations du milieu. Ces adaptations témoignent de convergences évolutives et, dans certains cas, de régressions.

Points clés

4. Conclusion

Les interactions entre les organismes et leur milieu façonnent leur physiologie et leur anatomie. Que ce soit par des adaptations respiratoires chez les Métazoaires ou des ajustements de croissance chez les Angiospermes, l’étude des relations organisme-environnement permet de mieux comprendre la diversité du vivant.