Résumé SV-A-3 : Regards sur les organismes unicellulaires

1. Introduction

Les organismes unicellulaires sont présents dans différentes branches de l’arbre du vivant. Ils présentent une grande diversité de structures et de modes de vie, pouvant être procaryotes ou eucaryotes. Chaque cellule unique assure l’ensemble des fonctions biologiques : nutrition, relation et reproduction.

2. Organisation et diversité

Les unicellulaires peuvent vivre de manière isolée ou former des biofilms, où des interactions spécifiques se mettent en place. Ils établissent aussi des relations interspécifiques avec des organismes pluricellulaires.

Points clés

• Comparaison des morphologies cellulaires et des structures (paroi, cils, flagelles, compartimentation).
• Analyse des biofilms et de leur rôle écologique.
• Observation microscopique des unicellulaires.

3. Métabolisme et fonctions biologiques

Les unicellulaires possèdent une grande diversité de types trophiques :

• Photolithotrophie : utilisation de la lumière et d’un donneur d’électrons minéral.
• Chimiolithotrophie : utilisation d’un substrat chimique minéral.
• Chimioorganotrophie : dégradation de matière organique pour produire de l’énergie.

Ces mécanismes sont essentiels pour le recyclage de la matière et le maintien des écosystèmes.

Points clés

• Étude des différents modes trophiques et de leur importance écologique.
• Identification des flux énergétiques et des interactions dans un réseau trophique.

4. Régulation et adaptation

Les unicellulaires s’adaptent aux variations du milieu en modulant leur expression génétique. Un exemple notable est le contrôle de l’opéron lactose chez Escherichia coli, qui régule l’expression des enzymes nécessaires à la digestion du lactose en fonction de la disponibilité des ressources.

Points clés

• Observation des mécanismes de régulation génétique.
• Étude du contrôle environnemental de l’expression des gènes.

5. Conclusion

Les organismes unicellulaires illustrent la diversité du vivant et jouent un rôle clé dans les écosystèmes. Leur capacité d’adaptation et leur importance dans le cycle des nutriments en font des éléments fondamentaux de la biosphère.